Stéphan Côté conclut cette série en lisant et interprétant quelques chansons d’amour de Félix Leclerc, pour terminer avec une chanson qui lui rend hommage et composée par Caroline Desbiens, « L’arbre a cent ans ».

À Paris, Félix Leclerc connaît un succès instantané. Stéphan Côté nous raconte quelques anecdotes de tournée, notamment la rencontre de Félix avec le pape Pie XII à Rome, tirées du roman Moi mes souliers.

À travers des extraits du roman Moi mes souliers, Stéphan Côté nous raconte les débuts de Félix Leclerc en France – sa rencontre avec Jacques Canetti, ses tournées avec les Compagnons de la chanson et Raymond Devos.

Stéphan Côté se penche sur le thème de la guerre dans les écrits de Félix Leclerc, abordé à la fois dans ses chansons et dans le roman Moi, mes souliers.

Stéphan Côté nous amène dans l'univers du roman Le fou de l’île. Laissez-vous émouvoir par ce touchant personnage «qui a le pouvoir de bouleverser les existences en lançant des étoiles au-dessus des têtes».

Après son passage dans Les compagnons de Saint-Laurent, Félix Leclerc fonde sa propre compagnie de théâtre, un épisode qu’il raconte dans Moi, mes souliers. Passionné par les tziganes et les saltimbanques, il aurait voulu écrire pour le théâtre; c’est plutôt avec ses chansons qu’il connaîtra finalement le succès.

Ce sixième épisode s’ouvre avec la chanson préférée de Raymond Devos, «La mer n’est pas la mer». Stéphan Côté trace ensuite avec des extraits de Pieds nus dans l’aube le portrait du père de Félix Leclerc, Léo Leclerc.

Ce 5e épisode évoque la période d’incertitude qui a suivi le retour de Félix chez ses parents, un passage raconté dans le texte «Maluron et son père», tiré du livre Le petit livre bleu de Félix. Stéphan Côté poursuit ensuite sa lecture de Moi, mes souliers pour nous raconter le passage de Félix à la radio de Trois-Rivières, ainsi que ses premiers pas à Montréal, qui ont été marqué par la rencontre de Guy Mauffette.

Stéphan Côté ouvre ce 4e épisode avec la chanson «Francis», pour ensuite lire la fable «Drame dans l’herbe», tirée du livre Allégro. Après avoir quitté son poste d’animateur de radio à Québec, Félix retourne chez ses parents, un passage raconté dans Moi mes souliers. L’épisode se termine avec quelques pensées choisies au hasard dans le recueil Chansons pour tes yeux.

Le voyage se poursuit pour ce 3e épisode avec la chanson "Moi, mes souliers". Stéphan Côté reprend ensuite le fil du roman du même nom pour nous raconter les premières amours de Félix Leclerc et son départ de la radio de Québec. La lecture se poursuit avec le conte «Le feu sur la grève» tiré du recueil Adagio, pour se terminer avec quelques pensées choisies dans Le calepin d’un flâneur.

C’est avec la chanson «Le p’tit bonheur», l’une des plus célèbres de Félix Leclerc, que s’ouvre ce deuxième épisode. Ce petit bonheur, il lui venait sans doute de sa maman, Fabiola Parrot. «Ça sent le pain chaud et je touche du velours quand je pense à ma mère», disait Félix. À travers des extraits choisis du roman Pieds nus dans l’aube, Stéphan Côté nous fait découvrir le regard tendre posé par Félix sur sa maman et son enfance, pour conclure avec une pensée tirée du recueil Le petit livre bleu de Félix.

Stéphan Côté ouvre cette série en interprétant Notre sentier, la première chanson écrite par Félix Leclerc en 1934. C’est avec un extrait du livre Moi, mes souliers qu’il nous relate ensuite l’arrivée de Félix à Québec et ses premiers pas à la radio, pour terminer cet épisode avec la lecture du poème « Les matins » tiré du recueil Andante, et une petite pensée choisie dans le carnet Chansons pour tes yeux.